Sophrologie c'est quoi ? un Art de Vivre !

La Sophrologie a été mise au point par un médecin psychiatre Colombien nommé Alphonso Caycédo (1932-2017).

« C’est l’âme qu’il faut tout d’abord et avant tout soigner, si on veut que la tête et tout le corps soient en bon état. Et l’âme se soigne avec des incantations (terpnos logos) et ces incantations sont les beaux discours. Ces discours engendrent la sagesse dans les âmes » Platon.

Ce qui signifie, étude de l’harmonisation de la conscience : « sos » équilibre, phrên « esprit, conscience », logos « discours ». C’est donc une unité Corps Esprit Mental.

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La Sophrologie puise son inspiration dans le yoga, le zen, le bouddhisme, la méditation.

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Qu’est-ce que la Sophrologie ? 

C’est une méthode de développement personnel et un métier d’aide à la personne qui consiste à donner à chacun les outils de son épanouissement en accord avec ses propres valeurs. C’est aussi une méthode psycho-corporelle favorisant l’harmonie corps-esprit.

Elle aide à acquérir un « nouveau regard » sur les objets, les êtres et le monde, à se libérer de ses a priori et avoir une liberté à être.

La Sophrologie utilise l’ensemble des ressources corporelles et mentales dont dispose la personne pour travailler sur elle-même. Ce sont des outils corporels comme la respiration, la relaxation profonde, les postures et également des outils mentaux comme la concentration, la méditation, la projection dans le futur et le passé, différentes techniques centrées sur l’énergie et les vibrations sonores et aussi la recherche de ses propres valeurs.

La Sophrologie consiste à vivre la vie qui est en soi, à l’activer pour développer ses compétences, ses valeurs et son potentiel, en vue d’être davantage soi-même et de se redéployer pour exister de manière positive. Cela fait partie d’une dimension de vie.

La méthode Caycédienne est toujours en vigueur. De nouvelles écoles se sont ouvertes prônant des compléments et évolutions différentes.

Voici les 5 piliers de la Sophrologie :

• Le principe d’action positive
• Le principe de la réalité objective
• Le principe de neutralité
• Le principe d’adaptabilité
• L’intégration du schéma corporel

Comment définir un objectif en sophrologie ?

Il doit être SMART, c’est à dire :

S comme spécifique, à savoir propre à la personne et détaillé

M comme mesurable, c’est-à-dire que l’on doit pouvoir le quantifier et en voir les effets souhaités

A comme acceptable, de façon à ce qu’il soit adapté la réalité de la personne

R comme réalisable, c’est-à-dire qu’il doit pouvoir être mis en oeuvre

T comme temporel de manière à ce qu’il s’inscrive dans le temps, avec une échéance.

Comment pratiquer la Sophrologie ?

• En séance individuelle : généralement la 1ère séance est plus longue (au-delà d’une heure), c’est un temps d’anamnèse (examen clinique) afin de faire connaissance. Les éléments biographiques de la personne sont pris en compte. Les séances suivantes seront d’une heure environ. L’accompagnement peut être relativement court, c’est-à-dire 2 à 3 séances et peut aussi s’étendre sur un délai plus long (plus de 10 séances).

Le praticien va créer un parcours sur-mesure afin d’accompagner au mieux le bénéficiant dans ses problématiques.

 

Le sophrologue propose des relaxations dynamiques afin de permettre au corps de relâcher ses tensions, de se détendre et également des visualisations positives pour accéder à un Mieux-Être.

Le praticien va conseiller des exercices à faire à l’extérieur. Progressivement la personne va être outillée et pourra accéder à davantage d’autonomie pour mieux gérer son quotidien. Il s’agit d’un suivi personnalisé.

• En séance de groupe :

 

Les séances de groupe sont moins couteuses et peuvent être plus motivantes en raison l’ambiance collective. Les thématiques sont plus généralistes et moins individualisées.

• Dans la vie quotidienne :

Les exercices peuvent être insérés dans une routine quotidienne. La répétition des exercices permet d’accéder à une philosophie de vie. Un regard neuf, comme si c’était la 1ère fois.

Dans des situations particulièrement stressantes et inattendues, la Sophrologie permet de mieux gérer ses angoisses, soigner son stress, son mal-être.

La Sophrologie contribue à l’estime personnelle, améliore la confiance en soi et améliore les schémas de pensée. Un travail approfondi sur son Être, sur ses croyances limitantes, tout cela fait partie du chemin menant la personne vers une meilleure reconnexion à soi.

La Respiration (Base de la Sophrologie)

Tout d’abord l’inspiration qui s’associe à un phénomène d’absorption de l’air. Elle procure une fraicheur, une énergie qui pénètre dans le corps. Sur le plan physiologique, c’est un phénomène actif automatique qui tire le diaphragme vers le bas. L’expiration nous purifie en retour. Cela permet d’évacuer du dioxyde de carbone. C’est aussi un processus de relâchement qui s’opère instantanément sans que nous en ayons conscience.

Une respiration ample et profonde ralentit le cœur et procure de la détente. Le cerveau s’apaise et les pensées négatives ralentissent.

Le fait de se concentrer sur sa respiration permet de sortir du mental et de revenir à l’instant présent. A partir de là, l’esprit peut mieux « servir » le corps. Ce sont des exercices favorisant la cohérence cardiaque.

La respiration est une hygiène de vie. Cela implique des exercices au quotidien, et amène à conscientiser son souffle tout au long de la journée.

Porter attention au souffle quelques minutes par jour pour susciter un bien-être général et accéder à un chemin vers la sérénité.

Quelques Thématiques :

- Gestion du Stress, gestion de l’anxiété :

Comment faire face aux exigences de la vie quotidienne (personnelle et professionnelle). La vie est parfois contraignante et nous devons répondre toute la journée à certaines obligations. Cette recherche de performance peut nuire à notre équilibre. La Sophrologie est là justement pour nous apprendre à mieux gérer le stress, les pensées négatives qui nous assaillent de toute part, bref s’apaiser, se sécuriser pour faire face à nos obligations.

- Gestion de la douleur :

En apprenant à mieux vivre ses douleurs, à les accepter, on peut les réduire et mieux apprécier la vie. Elles occuperont moins nos pensées. La douleur est révélatrice d’un mal-être intérieur. Quand on ne peut pas supprimer la douleur, au moins on peut la diminuer, apprendre à l’apprivoiser. C’est aussi faire avec la douleur, elle nous accompagne, peut-être a-t-elle un message à nous délivrer. Il faut l’écouter pour mieux la transcender et trouver la solution qui permettra d’alléger cette douleur.

- Gestion des émotions :

Les émotions principales sont la peur, la colère, la tristesse, le dégoût mais aussi la joie, la surprise. Lorsqu’on sait les identifier, on peut mieux gérer sa météo intérieure. Les pensées nous accaparent, en les laissant passer sans les retenir, sans s’accrocher à elles. A partir de là, on retrouve un mental apaisé, frais et reposé. C’est l’effet du « lâcher prise », de la prise de recul sur les choses, les évènements.

- Gestion du sommeil :

Installer une routine du sommeil qui se prépare dans la journée. Visualiser le moment du coucher, se rassurer et rassurer son enfant intérieur.

Le sommeil permet de nous régénérer après la journée. Un bon sommeil c’est l’assurance d’une journée sereine où on peut faire face aux contrariétés de la journée.

En installant, une routine, à l’aide de la protection Sophro-liminale, on imagine déjà le coucher avec ses rites, ses habitudes. Ce sont de bonnes pratiques à avoir pour accéder à la détente.

- La périnatalité :

Comment accompagner au mieux une maman ou future maman à accueillir un enfant. La grossesse est une période longue, fatiguante. Les exercices de Sophrologie aident à s’apaiser, à retrouver une respiration plus régulière, améliorer le sommeil qui peut être perturbé lorsque l’enfant commence à bouger. La maman veut être rassurée et savoir qu’elle sera un bon parent pour l’enfant à venir. Il s’agit de la mettre en confiance et contribuer à un état d’esprit positif.

- Les maladies graves :

Par exemple le cancer. Comment vivre le changement de son schéma corporel, sa représentation. Comment trouver de nouveaux buts, se projeter dans un avenir incertain qui génère de l’angoisse et du stress.

C’est grâce aux outils délivrés par le ou la Sophrologue que la personne va devenir autonome et prendra du recul sur la maladie.

Exemples de certains publics concernés par la Sophrologie :

- Les enfants :

Installer un côté ludique sous forme de jeux, de contes, d’histoires à raconter et faire revivre à l’enfant. Faire comme si, faire semblant.

Par mimétisme, l’enfant sait très bien recopier des modèles de jeux que le ou la Sophrologue lui montre. Il peut s’agir d’une balle en mousse que l’enfant va écraser dans sa main de manière à relâcher les tensions. On peut dire aussi à l’enfant de jeter la balle dans le panier ou de déposer ses secrets dans un « coffre aux trésors ».

- Les seniors :

Comment appréhender la vieillesse et mieux la vivre. Vivre en conscience et se concentrer sur l’instant présent. Savoir savourer la vie, cultiver la gratitude. Continuer à avoir des projets. Être entouré et garder une vie sociale.

Lors du départ à la retraite, la personne a peur de s’ennuyer. L’avenir paraît incertain compte tenu du changement de repères, de routines de vie. C’est le moment de trouver nouveaux buts et projets. La sophrologie permet de se recentrer et d’identifier ce qu’il faut faire pour aménager son nouvel emploi du temps.

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La Sophrologie est bien un Art de Vivre, une Philosophie de Vie indispensable afin d’améliorer son Existence en tous.

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Les Acouphènes c’est quoi ?

Il s’agit de la perception d’un bruit sans stimulus de l’environnement.  Ce n’est pas une maladie mais un symptôme.

On peut distinguer 2 types d’acouphènes :

• Les acouphènes objectifs, associés au bruit d’un organe (ressenti pulsation, battement) pouvant être entendu par un médecin ORL. Environ 5 % des personnes acouphéniques sont concernées.

• Les acouphènes subjectifs, les plus fréquents (95 %) qui sont entendus uniquement par la personne souffrante.

Les Chiffres en France :

Environ 16 millions de personnes sont concernées dont 4 jeunes sur 10, c’est-à-dire qu’elles ont déjà ressenties un ou plusieurs bourdonnements ou sifflements dans l’oreille.

Qui est touché par ce phénomène ?

Les jeunes écoutant plus de sons que prévus (écouteurs, casques, musique très forte et écoute de longue durée)

Les personnes âgées qui sont de plus en plus âgées.

Les salariés exposés au bruit dans leur travail (par exemple secteur du bâtiment)

Les artistes se produisant sur scène lors de concerts.

Leurs origines :

Le plus souvent les acouphènes surviennent lors de traumas sonores répétés, de sources de stress, de graves maladies. Ils peuvent aussi être la conséquence de prises de médicaments par exemple lors de traitement de chimiothérapie.

Par exemple, Thibault, jeune étudiant va assister à un concert, il se rapproche de la scène pour mieux voir le spectacle. Tout à coup des spectateurs se mettent à hurler pour accueillir la star et soudainement un sifflement apparait dans une oreille. Après une nuit agitée le bruit est toujours là et reste comme un parasite au fond de l’oreille. Impossible de s’en débarrasser.

Les bruits peuvent survenir de manière brutale ou progressive. Ils sont perçus par une oreille ou les deux. Il s’agit de manifestations de bourdonnement, de grésillement, de sifflement, permanents ou par intermittence.

Troubles associés :

L’hyperacousie, se manifeste par l’intolérance à des sons, une hypervigilance. La personne se sent agressée par les sons, il en résulte une grande fatigue, des stratégies d’évitement pour fuir les situations anxiogènes.

La malentendance c’est-à-dire la baisse des capacités auditives.

La maladie de Ménière qui est une affection de l’oreille interne pouvant provoquer des vertiges, des bourdonnements, une perte auditive.

Quelles sont les solutions envisagées ?

Tout d’abord en cas de troubles auditifs il faut consulter un médecin ORL. Celui-ci effectuera un diagnostic et un audiogramme (examen de mesure des capacités auditives). Des examens complémentaires peuvent être recommandés auprès d’autres spécialistes médicaux.

Les solutions sont donc d’abord thérapeutiques :

• Prise de médicaments pour réguler la douleur
• Stimulation sonore (TRT = Thinitus retraining therapy) pour approfondir le phénomène d’habituation. L’audioprothésiste propose un bruit blanc de masquage pour détourner le patient de la perception de ses acouphènes. Cela aura pour effet de réguler le stress et les émotions.

Il y a également des solutions plus douces comme la sophrologie conjointement avec de l’osthéopathie, kinésithérapie.

Que peut faire la Sophrologie dans ces situations ?

La Sophrologie peut aider la personne à défocaliser et à mieux vivre l’acouphène. Le but sera d’accompagner la personne à l’indifférence en détournant son attention des gênes ressenties. On pourra ensuite la réorienter vers une activité plus positive par des exercices (relaxations dynamiques), techniques de relaxation et visualisation.

La personne pourra apprendre à :

• Relâcher les tensions corps/esprit
• Mieux gérer le stress et améliorer le sommeil
• Apprendre à faire des pauses et gérer son énergie

Voici quelques exercices de sophrologie :

Imaginer être entouré par une bulle de protection transparente. Cet espace est créé par notre imagination et cela permet à la personne de se sentir protégée, à l’abri du bruit. Il y a lieu de réintroduire cette bulle plusieurs fois par semaine, pour mieux améliorer l’effet ressenti.

Un travail sur l’ancrage est important et on va porter l’attention notamment sur les pieds. En effet, les pieds ne « pensent pas » et généralement les douleurs ne portent pas sur les pieds.

Dans un 1er temps, cela permet de défocaliser et de placer son attention dans ses pieds. A l’aide d’une respiration profonde « inspir » et « expir » prolongée, la personne ne pense plus à ses douleurs et apprécie l’ancrage au sol. La posture debout met en évidence la verticalité du corps. Elle aide la personne à se relever à retrouver sa dignité et confiance en soi.

On peut choisir d’installer la respiration sur les sons de la nature (chants des oiseaux, eau qui coule, vent sur le visage). A l’aide d’une inspiration profonde et d’un souffle léger on peut observer un relâchement de certaines zones du corps (mâchoires, poignets, chevilles). Pour clôre l’exercice, on peut ajouter un geste signal qu’on aura choisi comme par exemple toucher le pouce et l’index pour mieux ancrer les ressentis dans le corps.

En conclusion :

La Sophrologie peut réellement aider les personnes souffrant d’acouphènes, d’hyperacousie et vertiges à l’aide d’exercices qui vont favoriser l’habituation des symptômes jusqu’à parvenir à « l’oubliphène » c’est-à-dire la mise à distance des bruits pour mieux gérer sa nouvelle vie.

A ce jour il n’y a pas de traitement médicamenteux efficace, il faut donc faire avec cette pathologie. La Sophrologie apporte un réel confort de vie.

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La QVT en quelques mots et quelques chiffres :

QVT, Qualité de Vie au Travail, est un concept apparu en France au début des années 2000.

Elle se définie comme la création de condition favorables à l’épanouissement de chacun. Sans pour autant oublier l’optimisation de résultats de l’entreprise.

L’ANACT (Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail) a mis en avant 6 points clés dont 3 concernent directement ou indirectement les praticiens du Bien-Être, la qualité des relations sociales, les possibilité de développement des compétences et le respect des équilibres des temps de vie.

 

94% des français déclarent leur travail comme une de leurs préoccupations principales.

12%, c’est l’augmentation de la productivité en lien avec le bien-être au travail.

10%, c’est la perte de productivité en lien avec le bien-être au travail.

42% des arrêts de travail sont en lien avec le mal-être au travail.

 

Le MIT et Harvard ont démontrés que les collaborateurs heureux étaient deux fois moins malades, six fois moins absents, 31% plus productifs et 55% plus créatifs.

La sophrologie :

La sophologie s’adresse au corps & à la tête. Son approche globale la désigne comme une des spécialités les plus pertinentes pour répondre aux attentes des employeurs dans leurs projets QVT (Qualité de Vie au Travail).

Quand les préoccupations des employeurs sont :

• La convivialité au travail
• La prévention des risques psychosociaux (RPS)
• La prévention et/ou la résilience au stress
• Le management bienveillant
• La maîtrise des émotions
• Le savoir être
• La limitation du turn-over
• La prévention des risques TMS (Troubles Musculo-squelettiques)
• L’échange constructif entre collaborateurs
• La prévention au Burn-out
• Le mieux-Être au travail

La sophrologie avec ses méthodes, techniques et procédures agit directement ou indirectement à toutes ces préoccupations intrinsèques au monde du travail.

Déjà, en 2018, un sondage annonçait que pour près de 60% des salariés la Qualité de Vie au Travail est une priorité.

Que 30% des salariés pensent quitter leur emploi pour raison de stress excessif.

Que des salariés motivés augmentent par leur engagement de plus de 100% leurs performances.

La Sophrologie, ce qu'elle apporte :

Elle s’accommode de toutes les formes d’interventions, en individuel, en groupe, en visio, via une vidéo, en auto-pratique. Et aussi en association avec d’autres spécialités comme le yoga, l’hypnose, la diététique, le coaching, les massages bien-être, la méditation, le yoga du rire etc…

Les séances peuvent être ponctuelles ou dans un processus d’accompagnement et de transmission de techniques avec amélioration continue.

Les outils de la sophrologie agissent sur les thèmes suivants :

• La gestion du stress
• La gestion des émotions et des anxiétés
• La gestion des douleurs
• La cohérence cardiaque
• Les croyances limitantes
• L’estime de soi
• La gestion des angoisses
• L’amélioration du sommeil
• La déprime
• La relaxation
• La préparation mentale
• Le lâcher prise
• La maîtrise de soi

Tous ces thèmes vont contribuer à créer l’attractivité du travail, la conciliation entre vie professionnelle et vie privée.

A aussi améliorer les relations internes entre salariés, à améliorer la créativité, l’adaptabilité, les aptitudes aux changements, les prises de paroles en public, les échanges constructifs, l’ouverture d’esprit, la tolérance. Et bien sûr la performance et le maintien en emploi.

Le ou la sophrologue peut-être le pivot parmi les intervenants bien-être car il ou elle intervient sur le corps et l’esprit dans un processus d’accompagnement qui peut ou même qui devra être approfondi par d’autres spécialistes.